London Bridge is Falling Down
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Angleterre. 24ème siècle. Entre les crimes et les meurtres, la ville de Londres n'est plus du tout ce qu'elle était...
 
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 Stiff night [Darlène Wheeler]

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MessageSujet: Stiff night [Darlène Wheeler]   Stiff night [Darlène Wheeler] EmptyMer 30 Déc - 16:22

Il était quelque part dans cette ruelle. Ou dans celle qui suivait. Mais que ce soit maintenant, dans une heure, ou même demain, elle le retrouverait, qu'importe l'endroit. Elle s'étonnait qu'un casanier comme celui-là puisse courir aussi vite. Enfin, casanier n'était pas le terme exacte. Il ne restait pas chez lui, mais à la taverne. Elle l'avait suivi durant quatre jours à intermittence, espérant saisir le moment où il serait enfin seul pour pouvoir faire ce qu'elle avait à faire. Elle avait fini par croire qu'il se débrouillait pour être toujours en compagnie. Sûrement vrai. Elle ne savait pas ce qu'il avait fait et ne voulait pas le savoir de peur que cela influe sur sa décision. On ne commet une injustice que lorsqu'on a conscience de cette dernière. Mais il fuyait, c'était le signe qu'il avait quelque chose à se reprocher, d'une manière ou d'une autre, en bien ou en mal. Plus simplement, d'une manière étonnante, cet homme n'était pas indifférent et inconnu à tout ce qui se passait dans la city en ce moment.

Elle s'arrêta une courte minute pour reprendre son souffle. Son cœur tambourinait dans sa poitrine. L'air qu'elle respirait était semblable à un poison acide qu'elle avalait goutte par goutte, irritant et douloureux, et pourtant vital. Quelques gouttes de sueurs coulèrent le long de son cou suivant les lignes du tatouage noir et informe qui s'y situait. Ce n'était pas possible. Elle ne pouvait pas rater sa proie, elle ne la ratait jamais, quasiment... Elle le visualisa, O'Bryan, un homme grisonnant et rondouillard, bon simplement à boire des bières à longueur de temps. Elle l'avait vu tourner à gauche dans la grande rue, c'était clairement lui, les cheveux gris, la veste de cuire, le jeans délavé, les bottes. Il lui avait paru plus maigre sur le coup, mais elle n'y avait pas vraiment porté attention. Elle ne l'avait pas vu rentré dans un immeuble, ni suivre un autre chemin que le sien. À vrai dire, elle l'avait perdu de vue dès qu'il s'était mis à courir. Elle ne voulait pas avouer qu'elle s'était fait dépasser, voilà tout.

Elle leva la tête brusquement et se remit à courir. Quelque part devant elle, dans la noirceur de la rue, le choc du métal contre le béton. Une poubelle renversée ? Elle accéléra. L'objet ne l'intéressait pas, c'était la cause de la chute l'important. À bout de souffle, la douleur lui perçait la poitrine, la prenait dans le dos et remontait même jusqu'à ses tympans. Splash... Elle s'étala au sol et glissa sur un bon mètre. Elle jura, se releva habillement et jeta un coup d'œil par terre. Un creux dans le bitume. Un liquide chaud coula le long de sa joue, depuis son front. Elle y passa sa main. Du sang. Rien de grave. Elle recommença à courir, esquivant du mieux qu'elle pouvait les obstacles qui se trouvaient sur sa route.

"Eh merde ! C'est pas possible !"


De rage, elle botta violemment dans la poubelle, l'envoyant valsée un peu plus loin encore. C'était foutu, elle ne le rattraperait pas, plus maintenant. La tâche se compliquait. Avant il se méfiait, maintenant, il savait. Il serait sûr ses gardes, tout le temps, sans exception, ne dormirait peut-être même plus de peur de se faire trancher la gorge dans son sommeil. Plus jamais elle n'aurait une occasion comme celle-ci où il avait suivi de se faufiler dans son ombre, d'attendre d'être loin de toute vie pour pouvoir lui ôter la sienne. Au fond, elle adorait ce moment délectable où tout puissante elle choisissait de donner vie ou mort. Elle pouvait avoir la bonté de Dieu ou la réalité du Diable, et appliquer la volonté de l'un comme de l'autre. Elle était l'un et l'autre. Mais elle savait que Dieu n'existait pas...

La main sur la poignée du couteau attaché à sa ceinture, elle fit demi-tour, le pas lent et lasse du défaitiste qui n'envisage pas de victoire à la revanche, si revanche il y a. Elle remonta jusqu'où elle s'était ramassée et au lieu de continuer tout droit comme elle aurait dû le faire pour retourner chez elle, elle prit l'allée de gauche poussée par l'envie de marcher un peu. La nuit était claire, elle n'aimait pas ça, on y voyait trop bien. Sa main se resserra sur le manche. Tête baissée, comme si elle ne voyait pas les silhouettes qui se faufilaient dans l'ombre, une main sous le manteau dans l'espoir de refiler quelques camelotes plus ou moins véritables. Leur regard s'assombrissait quand on passait sans les regarder, et il devenait agressif lorsqu'on les regardait trop longtemps. Rien de bien commerçant, ni d'attrayant. Elle accéléra un peu le pas. Oui, décidément, elle n'aimait pas les nuits clairs.
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Darlène Wheeler

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MessageSujet: Re: Stiff night [Darlène Wheeler]   Stiff night [Darlène Wheeler] EmptyJeu 31 Déc - 10:22

La nuit était tombée et le café avait fermé ses portes. Les ivrognes étaient encore dans la rue le temps de se rappeler où était leur habitation. Elle se dépêcha de les dépasser, elle n'avait cessé de se faire tripoter par ces même ivrognes qui n'avaient plus rien de mieux à faire que de dépenser tout ce qu'ils avaient dans la boisson et la débauche. Elle était déjà presque arrivée chez elle quand elle changea d'avis et continua tout droit au lieu de tourner dans sa ruelle. La nuit était très claire et c'était comme ça qu'elle la préférait au moins si on ne s'éloignait pas trop du milieu de la rue et qu'on ne s'approchait pas trop des batiments il était difficile aux criminels de se glisser derrière vous pour vous agresser, vous voler ou même pire.. Il était très tard à présent mais Darlène n'avait aucune envie de rentrer chez elle et de se coucher presque aussitôt arrivée. Elle continua donc de se balader dans les rues. Soudain elle entendit des pas qui courraient dans sa direction, un peu stressée elle essaya de ne pas changer de tête à l'approche de cette personne qui courrait pour on ne sait quelle raison. Avant qu'il ne la croise elle entendit une poubelle se renversée, le son étouffé d'une chutte et un petit gémissement plaintif. Mais très vite les bruits de pas se remirent à s'accélérer. Bentôt la silhouette d'un homme se dessina et il eut vite fait de la dépassée. Son angoisse s'estompa alors quelque peu. Elle choisit de tourner dans la rue d'où cet homme aux allures étranges venait et décida qu'il serait bon de rentrer chez elle même si en réalité son angoisse lui avait rappeler qu'elle était un être vivant qui avait des émotions.
Elle accéléra le pas sentant un regard pesé sur elle, elle ne savait d'où il provenait exactement et commença à regretter d'avoir pénétrer dans cette ruelle aux aspects peu rassurants. Elle se fraya un chemin parmis les ordures et atteignit enfin une rue plus importante. Elle vit une silhouette féminine non loin d'elle. La démarche de cette personne était sure et décidée. Elle ne sembalit pas avoir peur mais plutôt être une personne à craindre. Mais quelque part Darlène se sentait rassurée par cette personne et celle-ci choisit de suivre cette étrange personne. De toute manière elle se dirigeait dans la direction que celle que devait prendre Darlène pour retourner chez elle. Elle ne prit cependant pas le risque de la suivre de trop près et avait décidé qu'à la prochaine ruelle elle prendrait une autre direction que celle de l'étrange cette femme.

La faim et la fatigue s'emparaient peu à peu du corps de Darlène. Depuis quelques temps elle ne dormait plus beaucoup et ne mangeait pas grand chose non plus. Elle ne savait pas pour quoi mais elle ne dormait plus que quelques heures par nuit et son appétit ne semblait plus aussi grans qu'auparavant. Au moment précis où la faim avait commencer à prendre possession d'elle, elle se mit à penser que la grosse dame qui lui louait sa chambre aurait peut-être fermé la port à clef à cette heure tardive de la nuit et qu'elle serait peut-être bloquée à l'extérieur du batiment. Elle commença à paniquer même si elle ne voulait pas se l'avouer à elle même. Elle se mit donc à penser au lendemain et à la journée habituelle qu'elle allait vivre. A la journée sans surprise qui l'attendrait et à tout ces habitués qui ne se gêneraient pas pour tripoter dés son premier passage dans les rangés de tables. Tout cela la dégoutait mais elle n'avait pas le choix, comment trouverait-elle de quoi vivre en ces temps noirs et désésperants.

Quand la silouhette disparut dans une petite allée sur la gauche Darlène faillit ne pas la voir tourner. Elle se mit alors à courir un peu au ralentit pour ne pas faire de bruit et se dépêcha de s'introduire dans la ruelle. Elle aparçut la présence de la femme et de beaucoup de d'hommes qui auraient voulut échanger leur petites breloques contre quelques choses plus utiles. Alors elle se mit à analyser la tache de naissance qui lui apparaissait sur l'avant-bras. Elle fit cela un comme pour faire mine de rien ou bien simplement poussée par le stress qui grandissait en elle, c'était peut-être l'une de ses rares manies, quand elle était stressée elle regarait cette tache et n'en détachait plus trop le regard. Malheureusement cela la fit trébucher sur un gros objets qui se trouvait devant elle et elle s'étala de tout son long sur le bitume usé et recouvert d'immondices en décomposition. L'odeur des déchets était insoutenable et elle tenta de se relever maladroitement. De plus ce n'était pas vraiment l'endroit pour montrer des signes de faiblesses..
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MessageSujet: Re: Stiff night [Darlène Wheeler]   Stiff night [Darlène Wheeler] EmptyVen 1 Jan - 16:21

Aux murmures de ces vieux clochards et receleurs qu'elle avait dépassé un peu plus tôt, on devinait qu'un personnage inhabituel traînait dans le coin. La rumeur qui se levait était en partie semblable à l'alarme animale censée prévenir de l'arrivée d'un intrus ; l'un se met à crier, toute la forêt lui répond. Néanmoins, elle ne considérait pas la silhouette fluette qui marchait dans son ombre comme un danger. Quand bien même elle l'aurait été, il en aurait fallu beaucoup pour la persuader de la réalité de ce fait. Un être dangereux imposait un respect silencieux lorsqu'il se trouvait en ces lieux. Et quoi de mieux que les déchets de Londres pour savoir les noms scabreux et connaître les visages pernicieux de ceux qui possèdent le pouvoir ? Ils touchaient à tout, travaillaient avec tout le monde, pour quelques pièces faisaient le sale boulot que même les mercenaires avaient rejeté, et cela sans rechigner. En récompense à ce dévouement dépendant de l'instinct de survie, quelques uns avaient eu le privilège de rencontrer une fois dans leur vie quelqu'un d'important -pas des plus éminents, mais souvent des larbins du chef- et un mot de l'un d'eux suffisait à alimenter tout un fleuve de mutisme.

Le raisonnement des foulées sur le sol légèrement humide par endroit et recouvert de fragments de verre éparpillés lui fit tourner la tête. Il était évident à présent qu'elle la suivait. Pourquoi ? Les muscles de son dos se crispèrent. Aucune idée. Pourtant, elle devait bien avoir un but précis, on ne prend pas le premier venu en filature par simple plaisir. Même si elle était impossible, l'idée qu'il puisse s'agir de la riposte de sa proie échappée lui traversa l'esprit, peut-être par souhait de vengeance ou peur de s'être fait piéger. Il se pouvait qu'il l'ait remarqué depuis les premières heures et avait décidé de la laisser le traquer, alors qu'en réalité, il n'était qu'un appât et elle la proie, bestiole chassée par une tiers personne, un chasseur inconnu et disgracieux qui avait décidé de participer à cette mauvaise blague. Une version moderne de l'arroseur arrosé. Néanmoins, une faille importante lui apparut dans son raisonnement, la rassurant et lui redonnant une bonne partie de sa confiance en soit. Si les gars qu'elle traquait avait assez d'intelligence pour élaborer un tel plan, ils ne se seraient jamais fait prendre et auraient maîtrisé la situation de manière à ce que jamais une de leur connaissance ne fasse appel à Morganne ou à un de ses collègues pour l'éliminer. Finalement, elle arriva à la conclusion que la meilleure façon de savoir était d'aller vérifier par soit même, plutôt que de se détruire le cerveau à faire des hypothèses sans fondement.

L'occasion se présenta rapidement. La fouine venait de trébucher, se ramassant comme elle l'avait fait aussi un peu plutôt, bien qu'avec moins de ridicule. Elle fit demi-tour d'un pas pressé, et arriva à sa hauteur toujours la main sur le manche du couteau. Elle chopa par le col celle qui désormais, grâce à son apparente et sûrement réaliste jeunesse, serait désignée comme étant "la gamine". La force de Morganne -bien que minimisée par la fatigue- se joint à l'effort de l'inconnue qui finalement se retrouva sur ses deux jambes. Dans un même élan, elle la poussa assez fortement vers l'avant pour lui indiquer d'avancer. Depuis sa chute un silence morbide régnait. C'était l'oiseau de mauvais augure de ces rues, le calme avant la tempête.

"Qu'est-ce que tu fous ici à cette heure là, gamine ?"

Plus qu'une question, c'était un reproche, mais qui attendait tout de même une réponse pour lui assurer que ses délires n'étaient pas réels. Sa voix s'était faite basse, fantomatique et parsemé d'une pointe d'ironie qui faisait sonner le tout comme un sermon parental. Elle la tenait à présent par le bras et n'exerçait aucune pression dans son emprise. D'un simple mouvement, la gamine pouvait s'en extirper.
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MessageSujet: Re: Stiff night [Darlène Wheeler]   Stiff night [Darlène Wheeler] EmptyVen 1 Jan - 18:34

En tombant elle se fit de grosses égratinures sur les coudes et les genoux. Mais elle ne s'en aperçut pas tout de suite, trop troublée par le choc de sa chutte. Quand la silhouette se rapprocha et la saisit pour la relever elle fut prise d'une peur étrange qui la prit d'un coup et qui l'empêcha de dire le moindre mot. Quand la femme l'emmena elle ne la retenait pas vraiment mais Darlène n'osa pas essayer de se dérober. Elle préféra suivre la direction indiquée et ne dit pas un mot, même quand celle-ci lui posa une question. Darlène était effrayée et sa gorge se serra tandis qu'elle pensait à ce qu'elle allait répondre. Elle n'arrivait pas à prononcer le moindre mot, aucun son ne voulait sortir de sa bouche. Elle commençait à paniquer et ses yeux commencèrent à chercher une échapatoire, une issue, un endroit où fuir. Elle se mit à penser que peut-être qu'elle n'aurait pas du la suivre et qu'elle ne savait rien de cette personne. Elle pensait que peut-être elle aurait du se mettre à courir maintenant, tant que la prise de cette femme n'était pas encore assez forte pour la maintenir à ses cotés. Elle s'imagina en train de se débattre et commencer à fuir le plus vite possible en direction de chez elle. Au fond elle n'en était vraiment pas très loin, peut-être à quelques rues d'ici. Non, elle n'en savait rien, elle ne savait plus. Son esprit était embrumé par la peur et le désespoir. Elle voulut crier de toute ses forces mais n'y parvint pas. Après la panique et la peur qui l'avait envahie, elle se dit qu'après tout il était trop tard, qu'elle devait se faire une idée à propos de tout ceci. Sa démarche se fit plus lente et elle eut l'impression que la pression sur son bras s'intensifiait. Mais au lieu de s'arrêter net comme elle aurait voulut le faire ou encore de fuir comme en fut sa première idée elle choisit plutôt de répondre à la question que lui avait posé cette personne qu'elle avait suivit et qui lui tenait à présent le bras.

"Euh.. je.. Hé bien je retournais chez moi, voilà tout.."

Elle dit ces mots sur un ton méfiant et peu sûr de lui. Elle était effrayée et sa voix le fit bien comprendre à son interlocutrice. Darlène n'avait pas mentit d'un coté étant donné que son intention y était bien de rentre chez elle. Elle éstima qu'il n'aurait pas été très prudent de poser une question à son tour et s'abstint de tout commentaires. Elle réfléchit et l'une de ses pensée lui échappa. Une pensée qu'elle avait tout de même tenter de repousser jusqu'ici et elle murmura cette phrase à peine audible malgré le silence qui règnait à présent.

"J'ai peur."

Elle n'était pas croyante pourtant elle se mit à le regretter car elle avait toujours penser qu'en de telles situations on aimait pouvoir croire qu'en priant un peu on pourrait éspérer quelque chose et ne pas céder trop vite à la panique.
Tout ce qu'elle désirait à ce moment c'était se retrouver dans sa chambre et n'avoir rien modifier à ses habitudes si ennuyeuses. Elle aurait voulut ne pas avoir croisé cet homme qui d'une part l'avait fait dévier du chemin qu'elle avait prévu de prendre. Mais il était trop tard et elle devait affronter bien l'assumer. Darlène avait l'impression que ses genoux étaient en feu et que l'emprise sur son bras se fesait beaucoup plus forte, mais peut-être n'était-ce qu'une idée. Elle baissa les yeux et aperçut quelques gouttes de sang perler d'égratinures au niveau de ses genoux.
Son soufle s'accelérait et ses pensées divaguaient dans tout les sens. Elle aperçut un chat traverser la rue plus loin devant elles, ses pensée repartirent alors sur encore une autre idée. Elle fut tiré de sa rêverie par un ivrogne qui passait non loin de là et qui parlait tout seul en criant quasiment, il entra par l'une des nombreuses portes de bois délabrée de la petite allée. Soudain elle fut prise d'un spasme incontrôlé et elle mit machinalement la main sur son petit couteau de poche. Ceci était bien sûr un geste désespéré face à cette femme, mais elle se dit que si ça tournait mal il valait mieux tenter de se défendre un minimum. Mais elle dut s'en apercevoir puisqu'au même moment sa tête tourna légèrement vers Darlène. Mais celle-ci n'en était pas sûre, elle n'était pas certaine d'avoir réellement capter un mouvement de la part de la femme. Elle paniqua de nouveau et regretta subitement d'avoir porter la main à sa poche.
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